Un OCTOGONE de mes propres mots; là voici :
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On se distingue des portiers
Par des hurlements sublimes
On se différencie des marchants de sable
Par ses ouvrages intimes
On se discrimine des narrants des fables
On se discrimine des narrants des fables
Par son outrage, par son ourage, sans courage ultime
On se croit bien instruit, bien vif, bien animé
Alors qu’on est, au vrai, bien infime
On se croit bien riche
Alors qu’on n'est qu’un fauché, qui prélève la dîme
On s’imagine libre, sur les vagues
Alors qu'on est toujours écroué, aux ports de ses vastes crimes
On se mêle aux vies des autres pauvres
Alors qu’on ne vit pas sa propre vie richissime
On se croit déjà bien arrivé au sommet, à la cime
Alors qu’on est à la proue de l’abime
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Sometimes I get some reaction in my mind and I type it in French, as the French language is closer to my head than the English language. The longer story is the life that does not come with what one hopes to get, and, on the other hand, some people are really empty, but the life gives them more than they would merit, and they get full of unjustified evil arrogance
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Sometimes I get some reaction in my mind and I type it in French, as the French language is closer to my head than the English language. The longer story is the life that does not come with what one hopes to get, and, on the other hand, some people are really empty, but the life gives them more than they would merit, and they get full of unjustified evil arrogance
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